BIO

Un peu d'Histoire...

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Fin 50'

Naissance et vie à Montreuil sous bois, alors banlieue ouvrière ressemblant à une bd de Tardi, et porte de l’Afrique de l’ouest, il en gardera pour toujours le bruit et l’odeur ainsi que le son de la langue imagée, argotique, et le charme des nombreux ateliers (dont celui du grand-père) dans lesquels les gens travaillent, cognent et chantent.

Vacances dans la famille Aveyronnaise et fêtes de village avec de vrais musiciens qui donnent le goût pour les crouzades, bourrées, et toute la musique de bal au petit garçon béat, immobile devant la scène.

Ces allez-retour Paris-Aveyron se font, pendant de nombreuses années, à quatre dans une 2CV 375cm3, Il lui en restera un goût prononcé pour la mécanique et les bicylindres .

Ston chanteur français bébé en 1959
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Années 60’

Musique omniprésente dans la famille, mais goûts différents de chacuns des membres qui emmènent les enfants écouter et voir des spectacles de toute sorte, le voisinage de l’immeuble se chargeant de faire écouter le reste, que n’écoutent pas les parents.

Un vrai choc de cultures…

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Années 70’

Chaque été en Angleterre, Ston travaille sa langue, fasciné par cette musique que la radio française ne diffuse pas.

Premier contact avec une guitare électrique fabriquée maison dans la banlieue de Nottingham.

De retour en banlieue parisienne, il souhaite se remettre au violon, commencé vers 10 ans (par deux années de solfège sans pratique instrumentale) mais abandonné suite aux nombreux déménagements familiaux.

Le directeur du conservatoire de l’époque lui répondra : « mais mon pauvre ami vous êtes trop vieux » Il se jettera sur la guitare, seul et sans solfège, et gardera un dégoût de l’enseignement de la musique en France.

Un été 76 torride aux EU, dans le middle West, lui montrera une autre face du rock et la gamme pentatonique de A majeur.

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Années 80’

Sortie de délinquance grâce à la Charpente et au Compagnonage, il se met sérieusement à la guitare et au chant, pour animer les nombreux « arrosages » rythmant la vie ouvrière. Ça le mènera à embaucher dans un orchestre de bal le week end après le boulot.

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Fin 80’

Le bâtisseur reprend des études pour apprendre l’Architecture…et le trombone, grâce aux fanfares des beaux-arts, dont le niveau musical le persuade qu’on peut apprendre n’importe quel instrument à tout âge. Leur répertoire fait perdre ses complexes au rocker avec le disco, la variété et toute la musique populaire.

La guitare prendra la poussière pendant plus de 20 ans.

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Fin 2000’

Ne supportant plus les architectes, il décide de se remettre à la guitare et au chant. Le hobby devient métier, toujours avec ferveur. Il écrit ses premières chansons originales et les interprète partout où on accepte les débutants inconscients. La bienveillance rare du milieu n’aura jamais raison de sa  motivation à écrire et chanter, en Français, n’en déplaise à Lennon.

Un premier trio est constitué avec des musiciens talentueux : Alain Laspeyre à la batterie et Barnabé Wiorovsky au TubaF.

Mais si chanter est un métier, entretenir un orchestre en est un autre, et Ston un débutant.

Plusieurs formules suivront jusqu’aux actuelles :

En solo.
En duo avec Freddy Blondeau

En trio, avec Cyril Ferrieu à la batterie et aux chœurs, et Colin Durand à la Contrebasse.

Cyril Ferrieu

Cyril Ferrieu

Batterie & Cœurs

Son projet
Façon façon

Colin Durand

Colin Durand

Contrebasse

Freddy Blondeau

Freddy Blondeau

Contrebasse

Son projet :
Fauksa quartet